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  • Photo du rédacteurLea Della Volta

Les tunnels : la méthode « soft » pour déloger les terroristes du Hamas


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C’est une arme lente qui n’a rien à voir avec une arme de destruction massive. Il ne faut pas s’attendre, même si le projet Atlantis a un accent tanakhique à ce que les terroristes du Hamas soient engloutis. Il s’agit juste de déloger les assassins du 7 octobre qui se terrent dans les souterrains.

 

 

Pour monter cette opération, Tsahal a fait appel au génie militaire et civil ; Il s’agit d’une maîtrise technique d’une grande complexité avec cinq grandes pompes  qui récupèrent des milliers de mètres cube d’eau de mer toutes les heures. Les observateurs ont estimé que le dispositif pleinement opérationnel d’ici à quarante jours.

De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer un risque de pollution à l’eau de mer, qui rendrait la terre de Gaza inculte pour une centaine d’années. Le Hamas  n’a guère eu de scrupules en creusant des centaines de kilomètres de tunnels, rendant la terre parfaitement à ces endroits impropre à toutes cultures y compris en évacuant des tonnes de gravats de ces tunnels.  

 

L’eau est une arme surprenante et devrait jouer le rôle des soldats

 

Il ne s’agit donc pas de créer une vague déferlante, mais de savoir où l’eau s’écoule et d’identifier les réseaux et cloisonner les membres du Hamas.

Pour tous les tunnels non bétonnés, l’eau va s’infiltrer et provoquer des effondrements de terrain. D’ores et déjà, Tsahal a réussi à mettre hors d’état de nuire entre 20 % et 40 % des tunnels du Hamas.

On estime qu’il y a 700 kms de tunnels ;  aussi, tous les tunnels ne seront pas inondés. Les robots, les drones sont parvenus à géolocaliser les chefs du Hamas qui, pour échapper à la vindicte de Tsahal, se sont entourés d’une ceinture de protection qui revêtent le visage des otages.

Les tunnels sont meurtriers pour les soldats israéliens alors que l’eau devrait permettre d’épargner des vies.

 

Le refus de Tsahal d’utiliser des gaz inertes


La  France et le GIGN, à l’instigation du gouvernement français, a mené une action le 23 novembre 1979 des plus meurtrières à la Mecque pour mettre fin à une insurrection qui avait fait plusieurs milliers de victimes.

Minutieusement préparée, l’opération déclenchée par les fondamentalistes saoudiens a débuté trois jours plus tôt quand des centaines de rebelles ont pris en otage des foules de pèlerins priant dans l’immense cour de la Grande Mosquée de La Mecque, autour de la Kaaba, la pierre noire sacrée de l’islam.

Des trous avaient été creusés tous les 50 mètres afin d'atteindre le sous-sol, comme l’a expliqué le Capitaine Paul Barril, qui était chargé de l'exécution de l'opération.

 

Ainsi du gaz a été injecté par ces trous. Le gaz a été dispersé à l'aide d'explosions de grenades dans tous les coins où se cachaient les rebelles.

 

Si certains avancent qu’Israël pourrait utiliser des gaz - ce que Tsahal se refuse à faire par déontologie, eu égard à la mémoire de ceux qui ont péri par le gaz - il semble qu’il puisse y avoir un poids deux mesures dans la dénonciation de son usage par les armées du monde libre.

 

 

Lea Della Volta

 Les tunnels : la méthode « soft » pour déloger les terroristes du Hamas

 

 

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