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Le seul camp qui existe c'est le camp de l'humanité - Fadila Tatah

Le seul camp qui existe c'est le camp de l'humanité - Fadila Tatah

Artiste plasticienne, graphiste, styliste, autrice-compositrice… Fadila Tatah n’entre dans aucune case, sinon celle de la liberté. Dans cet entretien mené par Sophie Bria pour Tandem TV, elle revient sur son engagement après les massacres du 7 octobre 2023, lorsqu’elle a commencé à dessiner les visages des victimes israéliennes.


Insultes, menaces, injonctions à se taire : pour avoir donné un visage à ceux qu’on aurait voulu effacer, Fadila Tatah a subi une vague de haine. Elle raconte comment ses portraits — qu’ils soient juifs, palestiniens, iraniens ou afghans — naissent d’une émotion profonde et d’un refus catégorique de céder à la pression communautaire. Car pour elle, le seul camp qui vaille, c’est celui de l’humanité.


Entre humour noir, lucidité et douleur, elle décrit le climat de censure, les violences sur les réseaux, le silence du monde artistique, et la place trouble prise par les discours islamistes dans le débat public. Une parole rare, courageuse, à contre-courant.


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